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Souris dans les bureaux, rats en entrepôt : l’hiver approche, les invasions commencent

Souris dans les bureaux, rats en entrepôt : l’hiver approche, les invasions commencent

Souris dans les bureaux, rats en entrepôt : l’hiver approche, les invasions commencent

L’hiver déclenche une hausse massive des invasions de nuisibles. Les souris et les rats migrent vers les bâtiments chauffés. Entrepôts, bureaux, ateliers : tous les environnements clos sont ciblés. Le phénomène débute dès les premières baisses de température et s’intensifie tout au long de la saison froide.
Les demandes d’intervention augmentent de 28 % entre novembre et février (source : données internes BESTWARDEN). Les professionnels recherchent des solutions fiables et durables. La présence de rongeurs implique des risques sanitaires, structurels et réglementaires. Il devient indispensable d’agir en prévention.

Risques liés aux rongeurs en milieu professionnel

L’hiver déclenche une hausse massive des invasions de nuisibles. Les souris et les rats migrent vers les bâtiments chauffés. Entrepôts, bureaux, ateliers : tous les environnements clos sont ciblés. Le phénomène débute dès les premières baisses de température et s’intensifie tout au long de la saison froide.
Les rongeurs compromettent le bon fonctionnement des sites professionnels. Ils rongent les câbles électriques, détériorent les isolants thermiques et acoustiques, et contaminent les zones de stockage. Ils véhiculent des agents pathogènes par leurs excréments, leur urine et leurs poils. Cela expose les salariés à des infections et contamine les produits.
Ils provoquent également des interruptions d’activité. Une infestation non détectée peut générer des arrêts de production ou des refus de livraison. L’impact économique dépasse largement le coût d’une intervention curative. Lors d’audits ou d’inspections sanitaires, la présence de rongeurs entraîne des non-conformités. Ces dernières peuvent entraîner la perte de certifications ou des sanctions administratives.
Les rongeurs s’introduisent par les portes de livraison, les gaines techniques, les aérations, les fissures en façade ou encore les évacuations non étanches. Une détection tardive implique un traitement plus complexe et plus long. Le coût d’un plan d’action augmente fortement lorsque la colonisation est avancée.
Un diagnostic précis et une intervention ciblée doivent être réalisés dès les premiers signes d’intrusion.

Environnement technique et types de sites concernés

Les rongeurs s’installent prioritairement dans les espaces non fréquentés. Cela concerne les combles techniques, les locaux de stockage, les zones de sous-sol ou les faux plafonds. Dans les entrepôts logistiques, les rayonnages bas et les zones de préparation de commande sont particulièrement exposés.

Dans les bâtiments tertiaires, les gaines de câbles informatiques, les armoires électriques ou les salles serveurs attirent les rongeurs. L’activité humaine ne les dissuade pas si la chaleur et les sources de nourriture sont présentes. Dans les cuisines collectives, les souris se réfugient sous les équipements ou dans les espaces inaccessibles aux agents d’entretien.

Les chantiers de rénovation ou de construction sont également visés. Les matériaux de construction (laine de verre, cartons, câbles plastiques) servent à la nidification. Les installations provisoires comme les bases-vie et les zones de stockage extérieures facilitent l’implantation.

Typologie des nuisibles ciblés

En France, deux espèces de rats sont principalement impliquées : le rat noir (Rattus rattus) et le rat brun (Rattus norvegicus). Le rat noir est grimpeur. Il s’installe en hauteur, dans les combles ou les faux plafonds. Le rat brun est fouisseur. Il vit en sous-sol ou au niveau du sol, dans les égouts ou les fondations.
Les souris domestiques (Mus musculus) s’introduisent par des interstices de 6 mm. Elles colonisent les zones calmes des bâtiments. Elles se reproduisent rapidement. Une femelle peut produire 8 portées par an, soit 40 à 60 individus. Une infestation devient critique en moins d’un mois sans intervention.
Chaque espèce nécessite une stratégie de piégeage spécifique. La détection des traces (crottes, traces de frottement, bruits nocturnes) permet d’orienter le plan de lutte. Le choix de la technologie utilisée dépend de l’espèce, du niveau d’infestation et du type de site.

Solution BESTWARDEN : système électromécanique connecté

BESTWARDEN propose un piège électromécanique nouvelle génération. Ce système permet de neutraliser les rongeurs sans produit chimique. Il fonctionne par déclenchement mécanique, avec une tension mortelle contrôlée. L’équipement respecte la législation en vigueur et évite les risques d’empoisonnement secondaire.
Le système intègre une technologie de remontée d’informations. Chaque appareil est connecté à une plateforme numérique. En cas de capture, une alerte est envoyée en temps réel au gestionnaire du site et au technicien BESTWARDEN. Cela permet une levée de doute immédiate et une vérification du bon fonctionnement.
Le dispositif fonctionne 24h/24 sans rechargement manuel. Il s’intègre dans des environnements réglementés (industries agroalimentaires, logistique pharmaceutique, ERP, etc.). Il respecte la norme NF EN 16636 relative aux prestations de lutte anti-nuisible. Il répond aux exigences des référentiels qualité comme IFS, BRC ou HACCP.
La pose s’effectue sous 48h. Un plan de localisation est fourni. Un reporting mensuel est mis en place.

 

Bloc service : prestation de lutte raisonnée et connectée

La prestation inclut l’audit du site, la pose des dispositifs et le suivi dans le temps. Un technicien réalise une inspection complète du bâtiment. Il identifie les points d’accès, les traces de passage, les zones de refuge et les sources d’alimentation.
Le plan d’intervention est personnalisé. Il tient compte de la configuration des lieux, du type d’activité et du personnel présent. Les appareils sont installés dans les points stratégiques. Des étiquettes de traçabilité sont posées.
La surveillance se fait à distance. Le client accède aux données via une interface dédiée. Il peut consulter les historiques, les alertes et les rapports. BESTWARDEN propose également une version multi-sites.
Le contrat peut inclure la maintenance préventive, la vérification annuelle de l’état des bâtiments, et la formation du personnel.

Cas client : entrepôt logistique à Lyon (69)

Un acteur du transport international opère un entrepôt de 3000 m² dans l’agglomération lyonnaise. En janvier, le responsable qualité identifie des traces de rongeurs. Des crottes sont découvertes près des lignes de convoyeurs. Des câbles sectionnés entraînent une interruption partielle des opérations.
L’équipe BESTWARDEN intervient sous 24h. L’audit du site révèle la présence de rats bruns dans la zone de livraison et de souris dans les rayonnages. 12 pièges connectés sont installés. Un plan de lutte est défini pour trois zones sensibles.
5 captures sont réalisées dans les 48 premières heures. Le trafic chute à zéro au bout de 15 jours. Un contrat de surveillance est signé. Il prévoit des relevés mensuels et des inspections techniques.
Les données sont partagées avec le service qualité et la direction technique. Le site reste conforme aux exigences de ses donneurs d’ordre. Aucun arrêt de production n’est constaté après mise en place.

Conseils pratiques pour prévenir les invasions

  • Contrôler régulièrement les zones techniques et peu fréquentées.
  • Calfeutrer les ouvertures supérieures à 5 mm avec du grillage ou de la mousse polyuréthane ignifugée.
  • Installer des grilles anti-rongeurs sur les aérations et conduits.
  • Protéger les câbles avec des gaines renforcées.
  • Réduire les sources de nourriture : emballages ouverts, restes alimentaires.
  • Éviter l’accumulation de déchets dans les zones extérieures.
  • Sensibiliser le personnel aux signes d’infestation (odeur, bruit, traces).

Trois tendances à suivre cet hiver

1. Nouvelle réglementation sur les rodenticides
Depuis le 1er janvier, l’usage des rodenticides est limité hors zones agricoles. Les entreprises doivent documenter leur stratégie de lutte raisonnée. Le recours à des méthodes alternatives devient prioritaire (source : Ministère de l’Agriculture).
2. Baisse des températures précoces
Les épisodes de froid débutent dès novembre. Les pics de gel favorisent les intrusions. Les chaufferies, les sous-sols et les combles sont visés.
3. Évolution des schémas de nidification en toiture
Les études INRAE démontrent une hausse des nidifications en toiture technique. Les structures légères sont plus exposées. Les interventions doivent cibler ces volumes en priorité.

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