Une problématique réelle sur les chantiers BTP

Rongeurs, pigeons et insectes colonisent rapidement les chantiers. Les réserves de matériaux attirent les rongeurs. Les toitures provisoires offrent des abris aux pigeons. Les déchets alimentaires facilitent l’installation des cafards ou des fourmis.

Les structures semi-ouvertes et les locaux inoccupés favorisent leur accès. Aucun prédateur naturel ne limite leur prolifération. Les eaux stagnantes et les gaines ouvertes amplifient les risques.

Les rongeurs se reproduisent très vite. Un couple peut engendrer plusieurs dizaines d’individus en un mois. Sans intervention, l’infestation devient structurelle.

Le risque sanitaire est sous-évalué. Les déjections contaminent les zones de pause et de restauration. Cela crée un risque de maladie professionnelle non identifiée.

Pourquoi les entreprises du BTP sous-estiment l’impact des nuisibles

La nuisance est jugée marginale. Les entreprises la rattachent à l’exploitation, pas au gros œuvre. Les surcoûts paraissent diffus. Les décideurs manquent de données chiffrées fiables.

Les prestataires hygiène sont peu associés à la gestion de projet. Les responsables QSE interviennent trop tard. Aucun indicateur de performance n’intègre le risque nuisible.

Le personnel technique manque de formation spécifique. Le sujet est traité comme un simple nettoyage ponctuel. Les interventions réactives n’ont pas d’effet durable.

Les appels d’offres n’incluent pas de clause parasitaire. Aucune enveloppe n’est prévue en phase DCE. Les coûts indirects sont sous-estimés : non-conformités, retards, pertes d’image, litiges.

Conséquences techniques et financières mal évaluées

Les rongeurs rongent les gaines électriques. Ils provoquent des courts-circuits et des risques d’incendie. Ils souillent les isolants, tuyauteries et murs. Les rebouchages augmentent les délais.

Les fientes de pigeons endommagent les équipements. L’urine oxyde les structures métalliques. Les infiltrations d’eau se multiplient. Les bâches souillées deviennent inutilisables.

Les nuisibles attirent guêpes, frelons, chats errants et rapaces. Ces intrusions augmentent les risques biologiques. Les ouvriers sont perturbés. L’encadrement perd en efficacité.

Chaque journée perdue entraîne des pénalités. Le nettoyage et le remplacement des gaines impactent les marges. Certaines zones doivent être condamnées, notamment sur les chantiers linéaires.

Solution BESTWARDEN posée sous 48h

BESTWARDEN propose une protection active pour les sites BTP. Chaque intervention débute par une évaluation sur plan. Un chargé technique analyse les zones sensibles.

Le système anti-intrusion BIRDTECH+ repousse les oiseaux. Il protège charpentes, bâches et échafaudages. Il fonctionne sans électricité et sans nuisance sonore.

Pour les rongeurs, BESTWARDEN déploie les modules RODBLOCKS. Chaque dispositif est équipé d’un capteur intelligent. Les données sont relevées à distance.

Les dispositifs résistent à la poussière, aux vibrations et aux intempéries. L’intervention peut avoir lieu en coactivité. La solution est réversible et réutilisable.

Un technicien référent assure le suivi. Il valide les alertes et les zones critiques. Un reporting hebdomadaire est transmis à la maîtrise d’ouvrage.