Dépôts de plainte contre les nuisibles : que peut (vraiment) faire une mairie ?

La prolifération des nuisibles impacte directement la salubrité publique. Face aux signalements répétés, les communes s’interrogent : quelles actions concrètes peuvent-elles engager ? Rats, pigeons, étourneaux, blattes ou fouines colonisent les espaces communaux et perturbent la vie locale. Les dépôts de plainte contre les nuisibles augmentent chaque année, obligeant les maires à agir dans un cadre juridique strict. Dans ce contexte, l’utilisation de dispositifs modernes, comme l’effaroucheur, s’ajoute aux moyens classiques de lutte. BESTWARDEN répond à ces situations avec des solutions posées sous 48h, conformes aux réglementations et adaptées aux sites publics.

Que peut faire une mairie face aux nuisibles ?

Le maire détient le pouvoir de police en matière de salubrité publique. Il peut ordonner des mesures d’intervention sur les biens publics comme sur les propriétés privées. Ce pouvoir est encadré par le Code général des collectivités territoriales (articles L2212-1 à L2212-4). Concrètement, une mairie peut :

• Imposer la mise en œuvre de traitements antiparasitaires.
  
• Faire réaliser un audit sanitaire sur les bâtiments communaux.
  
• Solliciter un prestataire agréé pour une intervention urgente.
  
• Engager une procédure de réquisition pour accéder à des lieux privatifs infestés.
  

Dans le cas des logements collectifs, la mairie transmet les signalements à l’ARS (Agence régionale de santé). Si un risque sanitaire est identifié, l’ARS peut déclencher une procédure de péril sanitaire avec mesures obligatoires pour le propriétaire. L’absence d’action expose la commune à des recours préfectoraux.

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Pourquoi les mairies reçoivent-elles autant de plaintes ?

Les municipalités sont en première ligne sur la question des nuisibles. Les plaintes concernent autant les espaces publics que les logements :

• Rats visibles dans une cour d’école.
  
• Pigeons installés dans le grenier d’une mairie.
  
• Blattes circulant dans les canalisations d’un centre technique.
  
• Fouines dégradant les câbles dans les locaux sportifs.
  

Les causes sont multiples : accumulation de déchets, entretien insuffisant des bâtiments anciens, points d’eau stagnante, ou encore combles non protégés. L’urbanisation croissante accentue le phénomène. La disparition de certains prédateurs naturels favorise aussi la prolifération.

Les habitants exigent une réaction rapide. Les élus doivent donc arbitrer entre contrôle, communication et exécution. Les effaroucheurs sonores ou visuels deviennent une solution visible, immédiate et acceptée par la population.

Cas client : commune de l’Hérault, gymnase infesté

En mars 2024, la commune de Castelnau-le-Lez (34) reçoit plusieurs signalements d’usagers d’un gymnase municipal. Des fientes d’oiseaux apparaissent sur le sol et jusque dans les vestiaires. Le service technique confirme la présence de nids sous la charpente. Une action rapide devient indispensable pour maintenir l’accueil du public.

Diagnostic BESTWARDEN

Une équipe BESTWARDEN intervient sous 48h. L’inspection inclut : relevé photographique, mesure thermique, localisation des points d’entrée et évaluation de la population volatile. Résultat : une colonie de 35 à 40 pigeons séjourne sous la toiture. Le plancher technique montre des dégradations dues à l’acide urique. L’isolation est détruite sur plusieurs zones.

Solution posée

BESTWARDEN installe une combinaison de dispositifs :

• Filets anti-intrusion sur 28 mètres linéaires.
  
• Pics anti-perchage sur les poutres principales.
  
• Nettoyage désinfectant complet.
  
• Pose du système BirdBlock 360, a effaroucheur sonore modulable.
  

L’intervention mobilise deux techniciens pendant 3 jours. L’équipement est mis en service immédiatement.

Résultats

• Site accessible en 7 jours.
  
• Zéro intrusion observée dans les 2 mois suivants.
  
• Réduction de 72 % des tâches de nettoyage.
  
• Travaux lourds évités.
  
• Rapport transmis à l’ARS pour conformité.
  

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Solution BirdBlock 360 : l’effaroucheur nouvelle génération

The BirdBlock 360 est un effaroucheur sonore intelligent. Il émet des ondes modulables qui perturbent les récepteurs sensoriels des volatiles sans danger pour l’homme. Cette technologie cible les charpentes, combles et corniches.

Caractéristiques techniques :

• Couverture : 200 m² par unité.
  
• Autonomie : batterie ou alimentation directe.
  
• Installation : 2h maximum.
  
• Durée de vie : 3 ans.
  
• Entretien simplifié, garantie constructeur BESTWARDEN.
  

Cet effaroucheur est recommandé pour les ERP (établissements recevant du public). Il protège sans nuire à l’environnement.

Environnement technique à risque dans les communes

Les bâtiments communaux possèdent de nombreux points sensibles :

• Combles non ventilés.
  
• Locaux de stockage et archives.
  
• Gaines techniques accessibles.
  
• Systèmes de chauffage anciens.
  

The écoles, gymnases, mairies accueillent quotidiennement du public. Ils doivent répondre aux normes ERP. Les nuisibles représentent un risque sanitaire direct. Un plan annuel de surveillance est recommandé, incluant capteurs connectés et effaroucheurs adaptés.

Cadre réglementaire applicable aux mairies

• Articles L1311-2 et L541-1 du Code de la santé publique : obligation de salubrité.
  
• Décret du 25 janvier 2021 : traçabilité stricte des actions de lutte dans les ERP.
  
• Circulaire 2012 Santé publique : prévention obligatoire contre les nuisibles.
  

The DDPP et l’ARS réalisent des contrôles inopinés. En cas de manquement, la mairie s’expose à des sanctions. Les preuves d’intervention (rapports, photos, factures) doivent être archivées. BESTWARDEN fournit ces documents à chaque intervention.

Témoignages et plaintes typiques des citoyens

Les courriers envoyés aux mairies comportent souvent :

• Bruits nocturnes persistants.
  
• Présence de crottes ou d’odeurs.
  
• Dégâts sur gaines électriques.
  
• Infestations visibles de jour.
  

Certains habitants joignent photos ou vidéos. Un simple signalement oblige la mairie à réagir. En cas d’inaction prolongée, les citoyens saisissent la préfecture. Les scare, visibles et audibles, sont souvent utilisés comme preuve d’action réactive.

Offre BESTWARDEN « Sites publics »

BESTWARDEN propose une offre spécifique pour les collectivités :

• Audit annuel avec cartographie des risques.
  
• Traçabilité numérique des interventions.
  
• Installation rapide de filets, pics et scare.
  
• Rapports de conformité adaptés aux exigences DDPP.
  

Les interventions s’effectuent sous 48h. Les agents communaux disposent d’un accès en ligne au dossier complet. Chaque intervention est historisée et utilisable en cas de contrôle réglementaire.

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Trois tendances à suivre pour les collectivités

1. Carnet sanitaire obligatoire dans les ERP

Depuis janvier 2023, les établissements recevant du public doivent tenir un carnet sanitaire numérique. Les actions contre les nuisibles, y compris la pose d’scare, doivent y être consignées. Les communes doivent s’équiper d’outils compatibles.

2. Innovations : capteurs connectés et effaroucheurs intelligents

Les capteurs détectent mouvements et ultrasons. Ils communiquent avec des effaroucheurs connectés qui se déclenchent automatiquement. Ces dispositifs réduisent l’habituation et améliorent l’efficacité.

3. Risques émergents : extension du blaireau

Certaines zones rurales signalent une multiplication des blaireaux. Ils creusent sous les bâtiments, fragilisent les fondations. Les communes doivent renforcer leurs dispositifs de protection. L’intégration d’effaroucheurs sonores peut décourager leur installation en surface.